Itinéraire chanson

…des rôles à danser, des rôles à chanter…
Paroles
CAMERAWOMAN…

Faut pas qu’je me perde dans mon flashback …

Paroles : C. Combe
Musique & direction d’orchestre :  J-L. Méchali
Album (LP) RCA 8 titres.


Mise en scène
: C. Tordjman
avec : A. Lecointe (Basse), L. Plouton (Claviers), J-M. Ribis (piano), M. Samba (Batterie)

Création Spectacle : Festival In Avignon, Théâtre Populaire de Lorraine (TPL),
Festival de Sarrebrück (RFA), Festival de Vienne (Autriche).

Tant de disques tournent, planètes peuplées d’inanité sonore, que je me dois de signaler celui-ci où s’élève, brûle et brille la voix d’une femme qui cherche son salut avec la clé du chant. Car ce disque tourne comme on tourne un film…Cristine Combe a choisi le chant comme méthode d’enchantement et le jazz comme faiseur d’extase. Cet Orphée sauvera l’orpheline…
Claude Nougaro

Presse

« Entre la comédie musicale américaine et le meilleur Michel Legrand, entre Claude Nougaro et Diane Dufresne, entre le jazz et Kurt Weill, cette “Camerawoman” est difficile à ranger dans un tiroir« .
C.B. / Jazz Magazine, avril l980.

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« Cristine Combe en travelling plongeant »
« Avec une pareille présentation, je l’ai guettée au tournant cette Combe là. Eh bien, il ne s’est pas trompé, Nougaro. Ecoutez donc “La mariée”, par exemple : une mise en scène, une histoire, une musique quasiment fellinienne, avec un Nino Rota qui aurait laissé à Coltrane le soin de conclure sur fonds de volée de cloches (en fait, c’est Richard Raux). Presque chaque chanson est d’ailleurs un petit film avec son rythme, ses travellings lents ou effrenés, avec un jeu étonnamment fort des mots et des sons. Sons des cuivres, sons des mots aussi. Comme seul…Nougaro, justement, l’a tenté, l’a réussi. La voix de Cristine se plie à toutes les fantaisies de son inspiration, s’infiltre entre toutes les encoignures de cuivres« .
(R.K.K. / Libération, mars l980)


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“Camerawoman” se déroule plan par plan, comme un film, dans lequel Cristine Combe, dont le visage évoque étrangement celui de Louise Brooks et dont la présence rappelle à la fois Giulietta Massina et Liza Minelli, fait un voyage au bout d’elle-même, à travers son enfance et des fantasmes.« 
(Républicain Lorrain, février l980)


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« …beau à entendre « Camerawoman » qui est parrainé par Claude Nougaro (voir son compliment sur la pochette) s’avère aussi beau à regarder. Spectacle à voir absolument pour mesurer le swing et le feeling de Cristine Combe…« 
(A.G. Républicain Lorrain, mars 1981)


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 » Camerawoman : un dédale où les pavés s’appellent rythmes.
…Cristine Combe, merveilleusement accompagnée par Luc Plouton, Alain Lecointe, Jean-Marie Ribis et Moktar Samba vous emmènent dans un dédale somptueux, où les pavés s’appelleront rythmes et les murs, poésies.
Alors à quoi bon chercher le pourquoi et le comment, il suffit de se laisser aller. Et avec Cristine Combe et les autres, c’est un véritable plaisir.
Il n’est pas possible de parler de Camerawoman sans évoquer l’extraordinaire musique de Jean-Louis Méchali, qui swingue en caressant, de la mise en scène de Charles Tordjman, et du très beau décor d’Alphonse Humbert…
« 
(J-F.B. Thionville / 1981)

IDENTITE MINUTE

Livret : P. Minyana & C. Combe

Musique : J-L. Méchali.
Cassette – audio  (PAR 01)  6 titres

Mise en scène : S. Loïk.
avec
: J. Labarrière (arrangements, synthétiseurs, macintosh, piano)

Création Spectacle
: TPL Thionville / Théâtre Espace-Gaîté Paris  

Reprise : Centre Culturel Suisse (Paris)

Mise en scène : I. Lambelet.
Vienne (Autriche) : Tatitu Tatatu Festival (Un pari de Paris – Sept et Vienne / Chanson und Jazz)

Presse

« L’émotion naît du télescopage entre son métier, qu’elle possède jusqu’au bout des ongles, et sa fragilité intérieure, désignée avec humour. Par moments s’esquisse déjà ce qui l’attend de mieux : une gravité conquise par la voix, si bien timbrée, harmonieuse, ouverte à de nombreuses possibilités. »
(J-P. L./ L’Humanité, novembre l984)


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« Elle joue, chante et danse à ravir l’histoire de Phèdre qui a perdu ses clefs et va
au commissariat avec son chien Hippolyte. Ce One-Woman-Opéra (musique signée Jean-Louis Méchali) s’appelle “Identité minute” et est entièrement piloté par ordinateurs. En scène, les partenaires de cette madone des Apple se nomment TR 816/DX 7/RX ll. Après son premier disque chez RCA, “Camerawoman”, salué par Claude Nougaro, c’est le premier spectacle sur disquette de cette dompteuse de synthés aussi à l’aise dans la musique électronique que dans la chanson douce.
« 
(Le Matin, novembre l986)


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« Une errance en chansons à travers la nuit d’une ville. Son héroïne, Cristine Combe. On parle d’elle comme d’une nouvelle Marlène, d’une libertine ironique, d’une femme engendrée par le jazz. Atmosphère et humour.« 
(Le Nouvel Observateur, novembre l986)

… FEMME ASSISE EN BORD DE PISTE …

troisième étape d’un “voyage en chansons“ commencé dans les années l980 avec “Camerawoman “ (RCA)
(première étape) et…

j’ai eu le bonheur -l’honneur- à l’époque de voir ce premier disque préfacé par Claude Nougaro …
« …brûle et brille la voix d’une femme qui cherche son salut avec la clé du chant… » ,

“Identité Minute“ (deuxième étape)
la rencontre d’un auteur de théâtre devenu parolier pour la circonstance : Philippe Minyana et d’un musicien de jazz-compositeur : Jean-Louis Méchali.

…femme assise en bord de piste…: un disque, un spectacle.

 

Poser sa valise et l’ouvrir…Dans le cirque de mes rêves je vous convie tous sur la piste sans aiguilles.
Et le voyage continue…

Textes : J. Bescos, B. Brecht, C. Combe, H. Contet, P. Minyana, D. Postal, S. Sondheim.

 

Musiques : A. de Courson, J. Fucik, J. Labarrière, Louiguy, J-L. Méchali, Nino Rota,
J. Sibélius, S. Sondheim, J-R. Viard, K. Weill.
CD Pré-Langard 13 titres

 

Regard en bord de piste :  F. Rochaix.
avec : J. Labarrière (direction musicale, arrangement & piano)


Création Spectacle
: Théâtre de Carouge- Atelier de Genève / Janvier 2006

Presse